Si kemijoki était une musique…
ce serait « Take Five »
de  Dave Brubeck

Take Five, un morceau de jazz bâti sur des rythmiques inhabituelles – en 5/4 (cinq noires par mesure au lieu de quatre).

Un titre très innovant par sa signature rythmique atypique et révolutionnaire. Un rythme rarissime dans le ​jazz des ​années 1950 qui dérange les puristes.

Parce qu’un homme, créatif et ambitieux, a su remettre en question les idées reçues ou préconçues, faire preuve d’imagination et d’ouverture, nous pouvons aujourd’hui apprécier ce morceau de jazz.

Le succès de Take Five est un exemple de musique innovatrice qui devient un hit planétaire, au point de paraître aujourd’hui banalisé.

Take five des paroles qui nous parlent…

Tu ne veux pas t’arrêter et prendre un peu de bon temps avec moi ; souffle un peu !
Sort de tes occupations quotidiennes et prends le temps de t’apercevoir que j’existe.
Il aurait mieux valu ne pas être aussi poli, et m’offrir du feu
Entamer un brin de causette maintenant, c’est bien, c’est cool, très cool